Malgré sa gloire immense, le peintre britannique J.M.W. Turner (1775-1851) demeure encore assez énigmatique. Déjà légendaire de son vivant tant par ses humeurs et ses bizarreries que par ses techniques picturales plus ou moins secrètes, Turner a connu après sa mort quelques « aventures » posthumes. Entre 1855 and 1858, en faisant l'inventaire de la masse d'œuvres que le peintre avait léguée à son pays, John Ruskin aurait détruit des œuvres jugées trop obscènes. On ne sait si l'histoire est véridique, mais il subsiste cependant 108 dessins à caractère érotique. Sur l'un des carnets épargnés, Ruskin a même écrit au crayon : « Conservé seulement comme preuve de dérèglement mental ».
Cet ouvrage présente ainsi de simples graffitis obscènes, des académies inhabituelles, des « reportages » sexuels lors de voyages, ou des scènes nocturnes étranges qui annoncent Degas, tous de la main de Turner.
Prix TTC : 65.00 €
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La librairie Lardanchet, haut lieu du livre d'art dans le 8e arrondissement de Paris, dont Thierry Meaudre dirige la partie ouvrages neufs, est aussi une véritable period room, puisque le décor imaginé par la maison Dominique en 1947 y demeure intact.
Carole Blumenfeld